Vitamine C – traitement du cancer du rein/ information

Pour les patients souffrant d’un cancer du rein, de fortes doses de vitamine C sous forme de perfusion sont une excellente forme de traitement. C’est pourquoi le docteur Hartung utilise avec ses patients la thérapie par perfusions de vitamine C à fortes doses dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl. Le traitement à la vitamine C en intraveineuse est très bien toléré, ne possède pour ainsi dire pas d’effets secondaires et il est simple à mettre en place.

Traitement à la vitamine C. Traitement du cancer du rein/carcinome rénal

Les patients souffrant d’un cancer du rein présentent généralement des carences en vitamine C. Le système immunitaire est affaibli en raison de la carence en vitamine C. L’organisme ne peut plus combattre les cellules cancéreuses de façon optimale. Des études ont montré que la vitamine C en intraveineuse pouvait nettement augmenter la qualité et l’espérance de vie des patients souffrant d’un cancer du rein/carcinome rénal.

Vitamine C – combinée à des autres soins naturels.
Le docteur Hartung du centre de traitement alternatif du cancer de Kehl combine le traitement par perfusions de vitamine C à des méthodes de traitement naturopathiques telles que :

• Curcuma en intraveineuse/curcumine en intraveineuse
• thérapies par perfusion de B17
• Perfusions de désintoxication
• Traitements DCA
• Ozonothérapie
• Thérapie par le gui
• Thérapie par virus/virothérapie/virus oncolytiques/Rigvir
• Perfusions NADH (coenzyme 1)
• Perfusions basiques
• Oconthermie/hyperthermie locale
• et autres méthodes de traitement naturelles.

Le traitement avec de fortes doses de vitamine C en intraveineuse mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl par le docteur Hartung est toujours individuellement adapté à la pathologie de chaque patient.

Vitamine C et NADH (coenzyme 1). Traitement du cancer du rein/carcinome rénal

La vitamine C se combine très bien à d’autres médicaments dans le cadre du traitement d’un cancer du rein. L’efficacité thérapeutique de la vitamine C se complète très bien par l’utilisation du médicament NADH (coenzyme 1) .

Le NADH (coenzyme 1) augmente la production d’ATP et d’énergie des cellules.

Tout comme la vitamine C, le NADH (coenzyme 1) est un antioxydant très efficace.

Le NADH (coenzyme 1) répare l’ADN des cellules endommagées.

En raison des propriétés citées ci-avant, il est recommandé de traiter les patients souffrant d’un cancer du rein à l’aide de perfusions de NADH (coenzyme 1).

La vitamine C et le NADH (coenzyme 1) sont proposés sous la forme d’un traitement combiné contre le cancer du rein mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl par le docteur Hartung.

Vitamine C et perfusions basiques. Traitement du cancer du rein.

Les patients souffrant d’un cancer du rein doivent recevoir des perfusions basiques combinées à de la vitamine C. Les infusions basiques réduisent l’acidité excessive de la tumeur, les tissus douloureux et irrités sont donc soulagés et peuvent se régénérer.

Des perfusions de vitamine C et des perfusions basiques sont proposées sous la forme d’un traitement combiné contre le cancer du rein mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl par le docteur Hartung.

Vitamine C et DCA .Traitement du cancer du rein.

Les patients souffrant d’un cancer du rein peuvent être traités très efficacement à l’aide d’une combinaison de vitamine C et de DCA (dichloroacétate).

La fonction des mitochondries des cellules rénales cancéreuses est perturbée. Le DCA peut normaliser les fonctions des mitochondries et induire l’apoptose. La prolifération des cellules est entravée et la croissance de la tumeur est ainsi ralentie.

Le traitement à la vitamine C et le traitement DCA sont proposés sous la forme d’un traitement combiné contre le cancer du rein mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl par le docteur Hartung.

Vitamine C et Oncothermie (hyperthermie locale). Traitement du cancer du rein.

L’oncothermie (hyperthermie locale) est un traitement par fièvre artificielle induite et qui se combine très bien à un traitement à la vitamine C. Les patients souffrant du cancer du rein reçoivent une thérapie de la fièvre pour les zones où la présence de cellules cancéreuses est avérée ou soupçonnée. Le système immunitaire est activé par la fièvre et peut combattre les cellules cancéreuses. La vitamine C et ses propriétés immunostimulantes peuvent nettement renforcer l’efficacité de l’oncothermie (hyperthermie locale).

La vitamine C et l’oncothermie (hyperthermie locale) sont proposées sous la forme d’un traitement combiné contre le cancer du rein mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl par le docteur Hartung.

Vitamine C et curcuma (curcumine). Traitement du cancer du rein.

Les patients souffrant d’un cancer du rein peuvent être traités très efficacement à l’aide de curcuma (curcumine) et de vitamine C. Le curcuma (la curcumine) active les gènes responsables de l’apoptose (mort cellulaire) et dispose de propriétés qui entravent le développement de vaisseaux sanguins dans le tissu tumoral. Ces propriétés combinées au caractère immunostimulant de la vitamine C se sont révélées très efficaces dans le cadre de la lutte contre le cancer du rein.

La vitamine C et le curcuma (la curcumine) sont proposés sous la forme d’un traitement combiné contre le cancer du rein mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl par le docteur Hartung.

Vitamine C et ozonothérapie. Traitement du cancer du rein.

L’ozone est une forme d’oxygène riche en énergie. L’ozone possède des propriétés désinfectantes.
De petites doses d’ozone mobilisent les défenses naturelles de l’organisme et activent le système immunitaire. L’ozone renforce l’efficacité de la vitamine C dans le cas du traitement du cancer du rein/carcinome rénal.

Le traitement combiné est proposé dans le cas du cancer du rein dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl, près de Strasbourg, par le docteur Hartung.

Vitamine C et vitamine B17 (amygdaline). Traitements du cancer du rein/carcinome rénal

La vitamine B17 (amygdaline) est une substance naturelle. Des études ont montré que la vitamine B17 (amygdaline) était une forme de poison pour les cellules cancéreuses. Certains médecins utilisent l’expression de « chimiothérapie naturelle » dans le cadre d’une thérapie à la vitamine B17 (amygdaline). La vitamine B17 (amygdaline) combinée à la vitamine C offre une très bonne possibilité de thérapie contre le cancer du rein.

La vitamine C et la vitamine B17 (amygdaline) sont proposées sous la forme d’un traitement combiné contre le cancer du rein mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl par le docteur Hartung.

Vitamine C et l’artémisinine (artésunate). Traitement du cancer du rein.

L’artémisinine (artésunate) est une substance naturelle. Différentes études ont montré que l’artémisinine (artésunate) pouvait attaquer et détruire les cellules cancéreuses. Le fer réagit avec l’artémisinine (artésunate) pour donner des radicaux libres. Cela peut initier la mort cellulaire préprogrammée dans les mitochondries. Le traitement à la vitamine C et le traitement à l’artémisinine sont très complémentaires.

La vitamine C et l’artémisinine (artésunate) sont proposées sous la forme d’un traitement combiné contre le cancer du rein mis en place dans le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl.

Cancer du rein/carcinome rénal – Informations

Le cancer du rein (carcinome rénal) est une tumeur maligne qui se développe au niveau des reins. Le cancer du rein est une maladie relativement rare.

Le cancer du rein apparaît lorsque des cellules rénales deviennent malignes. Comme les reins sont des organes très bien structurés, les cellules cancéreuses peuvent ensuite rapidement se propager dans l’organisme via le sang. Des métastases apparaissent ensuite, notamment au niveau des poumons, du foie et du cerveau. Si les premières métastases sont déjà apparues, le pronostic et les chances de traitement du patient empirent nettement.

Causes et facteurs de risque pour le cancer du rein
Les causes du cancer du rein/carcinome rénal sont aujourd’hui encore en grande partie inconnues. Il existe cependant des facteurs de risque connus pouvant constituer un climat propice au développement d’un cancer du rein, tels que :

• surcharge pondérale
• tabagisme
• hypertension artérielle
• forte consommation d’alcool
• certains médicaments

Un âge avancé augmente également le risque de souffrir d’un cancer du rein. Il existerait aussi des facteurs héréditaires.

Symptômes

Le carcinome rénal ne cause pendant longtemps aucun trouble au patient. La tumeur est en général découverte par hasard dans le cadre d’un examen, par exemple pendant une échographie. On peut souvent retrouver du sang dans les urines. Si la maladie est à un stade avancé, les patients ressentent généralement des douleurs au niveau des reins. Si la tumeur peut être retirée par une opération, le patient a une chance de guérison totale. Si le cancer s’est déjà étendu et que la patient présente des métastases ganglionnaires ou des métastases à distance, les chances de guérison sont faibles.

Des études ont montré que la vitamine C en intraveineuse pouvait nettement augmenter la qualité et l’espérance de vie des patients souffrant d’un cancer. C’est pourquoi le centre de traitement alternatif du cancer de Kehl recommande le traitement à la vitamine C pour les patients souffrant d’un cancer du rein.